Je suis au collège. Un jour, comme tous les autres jours, pendant la cantine :) ! Je vais au toilettes pour me refaire une beauté, une autre fille était la aussi en train de se remaquillé aussi ... Nous nous sommes regardé ! Le " FLASH «, elle s'est rapproché, style de rien n’était. Puis, elle prit ma main et la glissa sous son maillot, sa m'excitait ! Je lui touchais ses seins et ses petits tétons tout durs qui pointaient ! Nous sommes rentré dans une cabine des toilettes, elle a descendu ma main, déboutonna son pantalon, et mit ma main sous sa culotte, je touchais avec mes doigt tout froid sa chatte qui mouillait, j’étais excitée j'avais des frissons, je touchais son petit clitoris, et elle poussait des petits jouissements " ha. Ha. " Elle aimait sa ! Elle baissât sa culotte, déboutonna mon pantalon, enleva ma culotte, me déshabilla complètement, et je fis pareil pour elle. Nous étions nues, elle me mit assise sur les toilette, se mit a genoux, m'écarta les jambes et me suça ma chatte. Je mouillais ... J’étais tellement exciter, je jouissais " han han han " doucement pour que personne ne m’entende. Je collât mais mains contre les murs car je voulais crier de bonheur. D'excitation ! Elle me mordilla mon clito, qu'elle bonheur! .Elle se releva, me lécha mes tétons qui pointait. Elle s'essaya à son tour sur les toilettes et donc c'était à moi de la sucer. Je la suçais, fessait le tour de sa chatte. Elle jouissait très fort, contrairement à moi elle en pouvait plus, elle mouillait, sa mouille allez jusqu’à ces fesse, mais je suçais. Tout à coup, une pionne arriva, mais elle jouissait de plus belle. La pionne évidemment, comprenait ce qu'il se passait ! Nous continuons car elle ne pouvait pas savoir que c'était nous. Elle sortie, et nous continuons. Je remontais et lui lécha les seins et ses tétons. Nous nous emballions, elle me plotait mes nichons ... J’étais assise les jambes grande ouverte autour d'elle ... On se frottait l'une contre l’autre. Je sentais c'est petit frisson, alors je la doigtai ... elle jouissait ... Puis, sa sonnât. Nous nous sommes rhabillé et tout s'est terminé !  .